« Le LaboFriche s‘inscrit dans l’ADN d’expérimentation qui nous porte depuis plus de 30 ans ». Retour sur l’inauguration du LaboFriche avec notre partenaire Pioche Magazine.
Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui samedi 19 avr.
Le projet « Lieux Infinis » porté par le collectif d’architectes Encore Heureux au Pavillon français de la Biennale d’architecture de Venise 2018, a invité 10 lieux dont la Friche la Belle de Mai (Marseille), le 6B (Saint-Denis) et les Grands Voisins (Paris), pour évoquer un nouveau rapport au vivre ensemble et à la ville, passant par l’art et la culture.
Le 20 octobre 2018, dans le cadre des 10 ans de Médiapart à la Friche, le journaliste radiophonique Emmanuel Moreira a convié Nicolas Détrie, co-fondateur et directeur de Yes We Camp et de Coco Velten à Marseille, et Julien Beller architecte de formation (collectif EXYZT), fondateur et président de l’association 6B, à partager leur expérience autour de ces « lieux infinis ».
Tiers-lieux, une autre fabrique du commun est un débat proposé par la Friche la Belle de Mai et animé par Emmanuel Moreira, producteur et journaliste radiophonique chez Radio Grenouille ayant coordonné la création d’une radio éphémère à l’occasion de la Biennale de Venise « Radio Infinita », un projet de Radio Grenouille, la Friche la Belle de Mai, le collectif Encore Heureux et Biennale Urbana.
Les lieux infinis sont des lieux pionniers qui explorent et expérimentent des processus collectifs pour habiter le monde et construire des communs. Des lieux ouverts, possibles, non finis, qui instaurent des espaces de liberté où se cherchent des alternatives. Des lieux difficiles à définir car leur caractère principal est l’ouverture à l’imprévu pour construire sans fin le possible à venir […]
Encore Heureux architectes
« Le LaboFriche s‘inscrit dans l’ADN d’expérimentation qui nous porte depuis plus de 30 ans ». Retour sur l’inauguration du LaboFriche avec notre partenaire Pioche Magazine.
Au cœur des manufactures de la Friche, un projet artistique et innovant prend racine. Entre résilience écologique et poésie, l’arroseraie offre une vision nouvelle de la gestion des ressources en eau.
Face aux inondations et aux sécheresses à répétition, la Friche la Belle de Mai de Marseille s’apprête à accueillir une micro-forêt et des dispositifs de récupération d’eau de pluie à grande échelle. Fidèle à son ADN artistique, l’institution trentenaire prend soin d’adosser ces expérimentations à des actions socio-culturelles. Une voie pour faire entrer l’art et les citoyen·nes dans la fabrique de la ville.