Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui dimanche 17 nov.
Un programme de résidences avec les Instituts français du Maroc, d’Algérie, d’Égypte, l’Ambassade de France en Iran et le Fonds de Dotation Compagnie Fruitière avec le Cameroun.
Résidence Méditerranée
Résidence Méditerranée est un programme de résidences destiné aux artistes du pourtour méditerranéen, marocains, algériens, iraniens, égyptiens, tunisiens et palestiniens, à Marseille pour encourager leur mobilité en Méditerranée.
Résidence Méditerranée est ouverte aux artistes arts visuels, danseur·ses, musicien·nes et aux écritures contemporaines. Ce programme à la Friche leur propose un cadre de recherche et de création sur mesure qui leur permet de développer leur pratique artistique et de (re)découvrir la scène artistique française.
Un nouvel appel à candidature est en cours cette année 2023 pour les artistes musicien·ne·s électroniques résidant dans les territoires palestiniens, à télécharger ici.
Chaque artiste bénéficie d’un espace de production adapté à son projet et aux formes qu’iel développe. Un accompagnement personnalisé est mis en place via l’implication d’un accompagnateur tout au long de la résidence, permettant des moments de parole et de « critique » qui ouvriront des espaces de réflexion à chacun.
Des ouvertures d’ateliers au public, des rencontres avec des commissaires, critiques d’art et des journalistes ouvriront des perspectives, des nouvelles collaborations et une visibilité des travaux en cours.
Partenaires de la Friche la Belle de Mai :
Arts visuels : Fraeme
Photographie : Le Bec en l’air
Musique : L’A.M.I
Danse : Parallèle – Pratiques artistiques émergentes internationales
Écriture contemporaine : La Marelle
Ce programme a bénéficié également de l’accompagnement d’Alphabetville, l’Officina et la Double V Gallery.
Depuis 2015, la Friche la Belle de Mai et l’Institut Français du Maroc ont initié le programme « Résidence Méditerranée ». Élargi en 2017 avec l’Institut Français d’Algérie, en 2018 avec l’ambassade de France en Iran, en 2020 avec l’Institut Français d’Égypte, et en 2022 avec l’Institut Français de Tunisie et l’Institut Français de Jérusalem. Enfin depuis 2019, le Fonds de Dotation Compagnie Fruitière s’associe au dispositif en intégrant le territoire de l’Afrique subsaharienne à cette dynamique.
Plus de trente artistes ont pu bénéficier de ce programme depuis sa création.
Sous le tutorat artistique de l’A.M.I (musique):
– Sammeer Hussein | Du 18 octobre au 30 novembre 2024
– Samar Baiomy | Du 26 août au 26 novembre
– Yasser El Malih, alias Stormzy | Du 8 avril au 6 mai
Stormy est artiste hip-hop marocain talentueux, exprime à travers sa musique les réalités de son pays et l’influence de la Méditerranée. Inspiré par les rythmes marocains et les cultures méditerranéennes, il fusionne poésie urbaine et réflexions profondes sur l’identité et les enjeux sociaux. Son art célèbre l’ouverture entre les cultures et la diversité, abordant des thèmes universels tels que la quête d’identité et les aspirations à la liberté. Participant aux « Résidences Méditerranée», il voit une opportunité de transcender les barrières géographiques et culturelles pour partager sa musique avec un public international.
– Youssra Raouchi | Du 26 août au 26 novembre
Dans sa pratique artistique, l’artiste tangéroise puise son inspiration dans le concept du rhizome, un réseau dynamique et interconnecté défiant toute narration linéaire de l’histoire et de la culture. À l’instar du rhizome, ses travaux artistiques reflètent la multiplicité de son identité. Son projet à venir consiste à approfondir l’exploration du concept de la peinture en créant des toiles tridimensionnelles et en expérimentant avec les formes des châssis. Ce projet s’inscrit dans la continuité d’une exploration constante de la fluidité de l’expression artistique et de la dissolution des frontières entre les médiums.
– Anas Guermouj | Du 26 août au 26 novembre
Le projet « Reconquête Urbaine à Marseille » se positionne comme exploration immersive au coeur de l’expression urbaine, cherchant à dévoiler les multiples dimensions culturelles et artistiques nichées au sein des rues marseillaises. En adoptant une approche qui transcende les limites entre l’art spontané et formel, ce projet a pour ambition première d’enrichir le tissu culturel de la ville et de stimuler une réflexion collective sur la reconquête artistique de l’espace public.
Ce projet représente une plongée profonde dans l’âme artistique de Marseille, visant à illuminer les récits gravés dans ses murs et à participer activement à la vitalité culturelle de cette cité méditerranéenne.
– Fatine Arafati | Du 13 mai au 31 août
Lors de ses 6 années d’étude aux Beaux-arts de Barcelone Fatine Arafati développe une pratique de la sculpture et une obsession pour les sculptures figuratives, leurs héritages et déclinaisons. À son retour au Maroc, à Casablanca, sa pratique artistique a évolue vers une pratique plus collaborative et significativement moins conceptuel. Récemment, elle s’intéresse plus particulièrement à l’archéologie, aux objets d’affection et aux représentation du divertissement.
– Loutfi Souidi | Du 13 mai au 31 août
Diplômé de l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan en 2018 , il s’installe à Marrakech en 2020. À travers différents médiums — dessin, peinture, collage, sculpture — son travail interroge les relations qu’entretient l’humain avec la Nature ou la société. Mixant et juxtaposant plusieurs matériaux, ses pièces donnent vie à un monde rétro-futuriste, souvent toxique ou apocalyptique.
– Othmane El Farsi | Du 13 mai au 31 août
Après avoir travaillé pour le Musée Yves Saint Laurent, la Fondation Montresso, 1-54 Contemporary African Art Fair à Marrakech, Othmane El Farsi est aujourd’hui chargée de l’espace d’art de la Fondation TGCC à Casablanca. La Friche l’accueille pour une résidence de recherche curatoriale autour des liens entre la création visuelle et la création sonore parmi les artistes du bassin méditerranéen.
– Jean Michel Dissake | Du 12 février au 8 avril
Innovateur de la Pictosculpture, Dissake définit cette pratique comme une jonction entre diverses expressions artistiques visuelles ; dessin, peinture, sculpture, gravure, dans une démarche qui efface les frontières conventionnelles pour adopter une esthétique contemporaine, dynamique et transcendante. Les oeuvres de Dissake, caractérisées par des assemblages hétéroclites, manifestent sa recherche constante d’harmonie et son expérimentation avec de nouveaux matériaux. Comme les mosaïques qu’il affectionne, ses créations plaident pour une coexistence équitable, essentielle à la survie collective.
– Lusine Baghdasaryan | Du 13 février au 21 avril
Artiste multimédia titulaire d’une maîtrise en peinture de l’Académie d’État des beaux-arts d’Erevan, Lusine Baghdasaryan explore la symbiose entre l’homme et la nature. Elle s’intéresse à l’art vidéo, à la photographie et à la gravure, en s’inspirant de l’essence de la peinture.
– Lucille Martin | Du 19 février 21 avril
Lucille Martin est une artiste basée à Perth et Melbourne. Son travail multidisciplinaire englobe la photographie documentaire, les textiles et l’artisanat, avec comme point de départ la nature et son engagement pour l’écologie. L’artiste s’inspire de son lien avec la nature et de son expérience dans des programmes de réhabilitation écologique.
– Mohamed Anwar | Du 28 août au 26 novembre
« Comme Alexandrie », projet imaginaire qui interroge Marseille comme une ville côtière égyptienne comme Alexandrie de nos jours. A quoi cela va-t-il ressembler ? Comment ce soi-disant processus de « développement et de rénovation de la ville » modifiera et affectera les lieux publics comme les Plages du Pardo, le Parc Borély et le Parc national des Calanques ? Dans quelle mesure la ville sera-t-elle commercialisée ? Combien de ponts et d’autoroutes la ville comprendra-t-elle ? Cela affectera-t-il les plages publiques et l’accès des gens à celles-ci ? Les « développeurs » préserveront-ils l’essence de la ville ou produiront-ils quelque chose d’étrange, de chaotique et d’aléatoire ? Et qu’adviendra-t-il de notre mémoire collective lorsque les lieux publics que nous connaissions disparaîtront ?
– Othman Ouallal | Du 28 août au 26 novembre
Le projet intitulé « Invasion / Évasion » explore l’urbanisation de Tazarine, sa ville natale, une oasis du Sud Est marocain. Il s’intéresse à l’exploration de l’environnement, des mutations culturelles et leur impact sur la vie quotidienne des peuples du bassin méditerranéen, et celle des habitants de la rive sud en particulier. Depuis son travail intitulé Traces et racines d’un palmier solitaire (2021), il n’a cessé d’interpeler les thématiques de la mémoire et l’imaginaire collectif, la société et la culture oasienne, et cela en faisant appel aux différents mediums : dessin, installation, vidéo, etc.
Dans son travail il use des stratégies de l’art, des paradigmes et concepts esthétiques. Il propose une nouvelle narratologie, imagée et imaginaire, qui ouvre les signes et les symboles de la mémoire collective sur la difficile tâche du « tissage ensemble».
– Yasmina Ouahid | Du 11 avril au 11 juillet 2023
Née en 1993 à Tétouan, Yasmina Ouahid est une artiste plasticienne dont le travail repose essentiellement sur l’usage et l’exploration des matériaux et des savoir-faire textiles, dont la broderie. Sa pratique artistique s’articule depuis quelques années autour de la récupération et l’appropriation d’éléments historiques ou culturels à travers un processus de détournement, et d’étrangéisation des objets, questionnant ainsi nos rapports à l’Histoire, à autrui et au monde actuel.
Pour son projet à La Friche, l’artiste propose un travail de création autour des motifs « Les cercles d’or » créés par les artisans du caftan du XVe siècle. Le travail de Yasmina s’articule souvent autour de l’usage du kitane, un cordon textile et artisanal doré constitué de plusieurs fils rassemblé et enroulés, élément essentiel dans la confection et l’ornementation du costume du caftan. Ces motifs de broderies, « les cercles d’or », se retrouvent notamment dans le caftan andalou aussi connu sous le nom du « costume barbaresque » ou « Kesoua lakbira » ; un habit traditionnel ancestral qui a migré du Sud de l’Europe vers le Nord de l’Afrique.
– Hallima Imane Zoubai | Du 11 avril au 11 juillet 2023
Hallima Imane Zoubai est une artiste visuelle basée à Fès. Sa pratique artistique est basée sur l’observation, la recherche et l’expérimentation à l’intersection des matériaux naturels et poétiques. L’artiste s’intéresse à la visualisation de l’oralité en explorant ses rythmes et ses différentes manifestations dans la matérialité des paysages musicaux. Dans sa recherche artistique, elle touche également au domaine de la géo-musicologie, qui porte sur les manières dont le paysage est préservé et reflété dans les connaissances culturelles. Avec l’intention de maintenir vivante la transmission orale des connaissances et des imaginaires du lieu, l’artiste travaille avec différents médiums : enregistrement sonore, performance, installation, sérigraphie et dessin.
Durant cette résidence, Imane a vécu une expérience sensible de Marseille et ses diverses cultures musicales à travers des rencontres offertes par les lieux de vie festive. Sa démarche relève d’une esthétique relationnelle dont les différents hasards lui ont permis la découverte de fragments d’archives. Grâce aux conversations dans les bars de la ville comme dans des salons, disques et livres lui ont été confiés pour alimenter sa quête artistique.
– Houda Abouz alias Khtek
Originaire de la petite ville amazighe de Khemisset, Khtek – « ta sœur » en marocain –, de son vrai nom Houda Abouz, est le nouveau visage du rap marocain. Dans un environnement musical fortement dominé par les hommes, elle est en train de s’imposer comme la patronne du hip-hop de son pays dans le classement 2020 des BBC Women.
Un·e artiste en cours de sélection
– Keulion
Keulion est un artiste visuel camerounais, multidisciplinaire : entre la peinture classique, la sculpture ou encore le “body painting”, il s’exprime à travers plusieurs médiums. Un artiste qui pense l’art autrement, il se rend à la rencontre des siens, et souhaite donner une autre dimension à l’art au sein de leurs vies. Son travail est porté sur la quête des ancêtres, de ce qui a existé vers ce que l’on est aujourd’hui, afin de mieux envisager le futur.
Sous le tutorat artistique de l’AMI (musique) :
– Haykal – Amr Amer | Du 19 novembre au 18 décembre
Artiste palestinien beatmaker originaire de Ramallah, il développe un projet de musique électronique ainsi qu’un livre sur ses écrits et son lyrisme. Son projet s’appuie sur des méthodes collaboratives de création musicale, notamment entre les artistes arabes issus de la diaspora et la scène française électronique. Sur le plan sonore, Haykal souhaite travailler à travers ces différentes communautés et genres, et ainsi s’exposer à de nouveaux sons et scènes, en les combinant avec les sons palestiniens (traditionnels, grand public et électroniques/underground) afin de développer une nouvelle musique qui défie les cadres et les limites de ces genres par l’échange.
– Othman Sellami | Du 15 décembre au 31 janvier
Né en 1990, Othman Sellami vit et travaille entre Rabat et Tanger. Au cours de sa résidence, il développe un projet autour des Hitistes, personnes qui passent leur journée entière adossées contre les murs et qui développent progressivement un rapport intime avec les façades des immeubles de leur quartier. Dans ce projet, il explore la complexité d’une réalité sociale et ses mécanismes d’inclusion et d’exclusion, en utilisant la danse comme médium d’une recherche “socio chorégraphique”, qui s’avère sociologique avant d’être chorégraphique. L’objectif de cette recherche est de remettre en question ces images politiquement stéréotypés et les faire glisser dans un contexte poétique, profond et sensible, tout en adoptant un processus établi sur l’expérience du terrain.
– Diaye Bourhim | Du 23 août au 23 novembre
Née à Rabat en 1999, Diyae Bourhim développe le projet « Maisons à Vendre », un projet initié en 2021, lors d’une résidence artistique à Tanger, sur les habitats de sa médina. Il questionne le territoire du sensible à travers une contemplation introspective. Cette réflexion qui se tourne vers l’intime viens re-narrer les récits de vie qu’une maison, un foyer, pourrait évoquer. À travers des médiums tels que la sculpture, la broderie, la sérigraphie, et la photographie, Diyae Bourhim explore les croisements de l’intime et du public qui s’expriment par le biais de l’habitat, et les différentes possibilités plastiques et visuelles qu’il peut offrir.
– Ahmad Kamouni | Du 24 août au 22 novembre
Diplômé de l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan, Ahmad vit et travaille entre la France et Maroc. Il s’intéresse à la matière dans son état brut, principalement le sel, une matière particulièrement chargée d’histoire, de sens et de croyances envers laquelle il a développé une sensibilité et un intérêt particuliers. Son champ d’expérimentation touche à plusieurs médiums tel que le dessin et l’installation, ainsi que les techniques d’impression (gravure, sérigraphie, monotype, etc.) L’artiste interroge, à travers son travail artistique, la position et les connotations qui entourent le sel à travers l’histoire des civilisations ainsi que sa nature chimique et minérale. Il en est de même pour les matières qu’il découvre, au fur et à mesure de sa recherche, tel que le cuivre, la chaux, etc.
– Medhi Ouahmane | Du 11 avril au 11 juillet | Portfolio
Né à Casablanca, Mehdi Ouahmane vit et travaille à Mohammedia. Diplômé de l’Institut National des Beaux-Arts de Tetouan au Maroc (2019) l’artiste développe à travers différents médiums allant du dessin à l’installation, une réflexion politique et écologique autour du concept de consommation des croyances. Son travail a été montré à plusieurs occasions, notamment : au Mahal Art Space, Tanger, Maroc (2022), à la Galerie Alyssart, Rabat, Maroc (2020), au 18, Marrakech, Maroc (2019), ou encore à la galerie GVCC, Casablanca, Maroc (2018). Il est lauréat du Prince Claus Seed Award (Amsterdam, 2021) et du Young African Artists Prize (Toronto, 2018).
– Hicham Bouzid | Du 4 avril au 22 mai
Hicham Bouzid est curateur, cofondateur et directeur artistique de Think Tanger, un projet culturel qui explore les enjeux sociaux et spatiaux de la ville de Tanger. À travers cette plateforme, il assure également le développement du tout récent « Print Club Tanger » qui donne un nouvel élan à la sérigraphie. En septembre 2020, il a lancé la revue Makan qui traite d’urbanisme, d’architecture et d’art à Tanger et ailleurs. Makan est un mot en langue arabe signifiant « espace » en français, cet espace est volontairement indéfini, car il s’agit d’explorer à travers ce magazine tous les espaces possibles : urbains, politiques, artistiques, philosophiques, économiques, intimes et imaginaires.
Lors de sa résidence à la Friche, Hicham Bouzid se consacrera à la rédaction de la deuxième édition de la revue Makan.
Sous le tutorat artistique de Fræme (arts visuels) :
– Nabila Halim | Portfolio
– Badr El Hammami | Portfolio
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– L’Homme Jaune | Portfolio
Sous le tutorat artistique du Bec en l’air (édition / photographie) :
– Roger Anis
– Abdias Ngateu | Arts visuels
EN 2020, LES RÉSIDENCES ONT DÛ ÊTRE ANNULÉES EN RAISON DE LA CRISE MONDIALE DU COVID.
Sous le tutorat artistique de Fræme (arts visuels) :
– Khadija El Abyad | Portfolio
– Saïd Raïs
– Sara Ouhaddou | Portfolio
Sous le tutorat artistique de L’Officina (danse) :
– Chourouk El Mahati
Sous le tutorat artistique du Bec en l’air (édition / photographie) :
– Hicham Gardaf | Portfolio
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– Ryma Rezaiguia | Dossier artistique
– Justine Gaga | Artiste plasticienne
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– Atefeh Khas | Performance, installation de fibres, projets spécifiques in situ, film et photographie, chaque projet est abordé sous l’angle de son rapport à l’espace naturel.
Sous le tutorat artistique de Fræme (arts visuels) :
– Yassine Balbzioui
– Nafie Ben Krich
– Sido Lansari
– Mohammed Laouli
Sous le tutorat artistique de L’Officina (danse) :
– Mohamed Lamqayssi et Taoufiq Izediou
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– Maya Benchikh El Fegoun
– Sofiane Zouggar
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– Melika Shafahi | Travail photographique
Sous le tutorat artistique du Bec en l’air (édition / photographie) :
– Safaa Mazirh
– M’hammed Kilito
– Amine Oulmakki
Sous le tutorat artistique d’Alphabetville (arts numériques) :
– Mohammed Amine El Makouti
Sous le tutorat artistique de Fræme (arts visuels) :
– Zainab Andilabe
– Sanae Dannoune
– Hanane El Farissi
2 artistes algériens et 2 artistes français ont participé ensemble à la création de 2 fresques, se répondant de part et d’autre de la Méditerranée.
Producteur associé – Fræme (arts visuels) :
– Yessad « Serdas » Fares
– Karhouai « LMNT » Lyés (street art)
Deux projets d’artistes français ont été accueillis à l’Espace Campus France d’Alger | Producteur associé : Double V Gallery
– Olivia de Bona
– Kraken
Sous le tutorat artistique du Bec en l’air (édition / photographie) :
– Aïcha El Beloui
Sous le tutorat artistique de Fræme (arts visuels) :
– Abdessamad El Montassir
– Aïcha Hamu
Sous le tutorat artistique de L’Officina (danse) :
– Youness Atbane et Youness Aboulakoul
– Moad Haddadi
Sous le tutorat artistique de Sextant et plus (arts visuels) :
– Soukaina Joual
– Moulay Abdellah Hassak & Naji Tbel
Sous le tutorat artistique de L’Officina (danse) :
– Youness Khoukhou
Le projet d’une artiste française a été choisi et accueilli à l’Institut Français de Fès et l’Institut Français de Casablanca :
– Montaine Chevalier | Danse | Producteur associé : Espace Darja