Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui dimanche 22 déc.

© Christophe Raynaud De Lage – Graphisme : Montasser Drissi

Comme un printemps, je serai nombreuse

Exposition collective avec et autour de Sonia Chiambretto

Avec la complicité curatoriale de Victorine Grataloup et Camille Ramanana Rahary
Une proposition de Triangle-Astérides

Du 8 février au 8 juin 2025
Les après-midi du mercredi au dimanche

Lundi : fermé
Mardi : fermé
Mercredi : 14h à 19h
Jeudi : 14h à 19h
Vendredi : 14h à 19h
Samedi : 13h à 19h
Dimanche : 13h à 19h

Vernissage le 7 février 2025 à 17h

De 0 € à 8 €

Le billet donne accès à toutes les expositions

Tarif plein : 8€
Tarif réduit : 5€ pour : -26 ans, +65 ans, professeur d’écoles, groupe de plus de 10 personnes • sur présentation d'un justificatif

GRATUIT pour : -18 ans, étudiant·es, bénéficiaires du RSA, du minimum vieillesse, familles nombreuses, personnes en situation de handicap, demandeur·euses d’emploi, groupes scolaires & centres sociaux (accompagnés), ministère de la culture, maison des artistes, journalistes, membres ICOM/ICOMOS/AICA, membres du CEA - associations des commissaires d'expositions, salarié·es des centre d’art, membre de arts en résidence, membre du PAC, réseau plein sud • sur présentation d'un justificatif

La Tour

Panorama

Le billet d’entrée, même si vous bénéficiez de la gratuité, est indispensable, il donne accès à l’ensemble des expositions de la Tour et du Panorama.

AUTOUR DE L’EXPOSITION

Vendredi 7 février

Sonia Chiambretto et Lawrence Davis, lecture d’un extrait d’Oasis Love  
« Pourquoi l’apparition des forces de l’ordre dans les cités périphériques aux grandes villes provoque-t-elle, toujours ou presque, dans un réflexe de fuite, la course des jeunes qui y vivent, et dans le même mouvement, la course des policiers ? Avec Oasis Love, Sonia Chiambretto pose cette question comme point de départ de sa pièce née d’un long travail de documentation, d’enquête et d’écriture sur l’ambiguïté de notre rapport à l’autorité. » (Festival d’Automne)

Samedi 8 février | 17h – Panorama


Fanny Souade Sow et Nesrine Salem, on n’avait plus peur, on a couru, 20mn, 2025

La performance on n’avait plus peur, on a couru tisse des liens entre position statique et course, explore l’immobilité des corps issus des territoires ségrégués, perçue comme dangereuse puis comme forme de résistance. Parcourir l’immobilité, la marche puis la course pour « embrasser sans culpabilité notre droit de fuite » (Marie Dasyla)
Le titre on n’avait plus peur, on a couru est issu de la pièce Oasis Love de Sonia Chiambretto.