On Air : Soirée d’ouverture du festival MIMI – Dj Creestal + Section Azzura + Hyperculte

DJ Creestal (DJ set hip-hop future jazz future soul)
Munchie Records • Marseille
Autant actif sur la scène locale qu’internationale avec des artistes comme AG (Showbiz & AG) Amanda Diva, Ray West, Roc Marci, Big Pooh, Ras Kass…, tant seul qu’en groupe avec Karkan ou CM Jones, DJ Creestal s’est forgé une belle réputation en tant que producteur mais aussi en tant que DJ. Creestal est également réalisateur vidéo au sein de Hill Valley films et co-fondateur avec MoSahdee du label Munchie Records, sur lequel il a sorti son dernier projet instrumental « Difference ».

Section Azzura (Live early dub / post-punk duo)
Marseille
Et non ! La Section Azzura ce n’est pas une équipe de football italienne (quoique…), mais bel et bien une section rythmique azuréenne, de celles dont on se souvient !
Leur live est un mélange des genres allant du early dub expérimental à du old School dancehall parfois psyché. Ils reprennent même à la sauce « white trash » certains vieux « riddim jamaïcains » (Sleng Teng, Answer, Carpenter) pour vous faire bouger l’extérieur et l’intérieur de la tête !
Ce duo est composé de Jul Giaco (Club Meth, Quetzal Snakes, Ali Barbare & The Grinds) et Dorian Lahais-Cazalé (The Spitters, Ali Barbare & The Grinds, Mystik Motorcycles).

Hyperculte (Live transpop repetitive kraut duo)
Bongo Joe Records et Red Wig Records • Suisse
Hyperculte ce sont Vincent Bertholet, contrebassiste franco-suisse et cheville ouvrière de l’Orchestre tout puissant Marcel Duchamp et, à ses côtés, Simone Aubert, batteuse venue d’un groupe au nom tout aussi tranché : Massicot.
Lui joue des boucles de sa contrebasse, tandis qu’elle orchestre la pulsion d’ensemble. Chacun chante et adapte pour les textes des sources diverses : Tristan Tzara, Brigitte Fontaine ou encore Douglas Adam (auteur du « Guide du voyageur galactique »).
Si le champ musical est simple chez Hyperculte, il n’en est pas moins étendu (à la fois punk, nourri d’enregistrements folk, de transe chamanique mais aussi d’expérimentations minimalistes), exploitation d’une simplicité qui est un peu à l’image du choix des titres : Choléra, Résigné, Le Feu, Caillou mais aussi Bataille.