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Bienvenue à la Friche
Aujourd'hui samedi 21 déc.
Le 27 novembre 2016
dimanche 27 novembre à 20h
18€ en prévente (hors frais de loc.)
Le Cabaret Aléatoire
Un concert le dimanche ? Pas n’importe lequel, celui d’Hindi Zahra, qui présentera son dernier album Homeland. Des chansons d’aventurière remontée des tréfonds, qui vogue sur les déserts. Une soul mondiale progressive, qui libère les corps et les cœurs en douceur et profondeur avant une se- maine de dur labeur.
HINDI ZAHRA
Dès la fin de sa tournée, Hindi Zahra prend la décision de s’installer un an à Marrakech. Seule, dans un riad de la médina, comme un cocon ouvert sur l’extérieur. Pour se reposer, et trouver le chemin de sa musique. « Une vraie descente dans la solitude… Pour digérer une histoire et la raconter, en tirer des chansons de transe, libérées. Parfois je faisais les courses pour deux semaines, et je ne sortais plus. » Parce qu’il est question de transe, elle commence par explorer des rythmes, avec Rhani Krija, un musicien d’Essaouira qui fait une carrière internationale. «Il est arrivé avec une camionnette remplie de percussions, qu’il a étalées dans le patio du riad. On choisissait, on mélangeait : des rythmes cubains avec des percussions marocaines, des rythmes marocains avec des percussions indiennes… » La suite – la composition, les chansons, les arrangements – va naître sur ce tapis de percussions, tissé pendant près d’un an.
Comme dans l’immeuble musical de son enfance, Hindi Zahra connaît tous les étages. Elle passe du temps dans des grottes entre Essaouira et Agadir, puis va en haut des montagnes, avec les paysans berbères qui scrutent l’océan. Hindi Zahra sort de sa retraite, ses chansons l’appellent au large. A Cuba, en Jordanie, en Andalousie, en Egypte, en Italie. Ces voyages et ces expériences rencontrent des passions musicales tenaces (Miriam Makeba, Cesaria Evora, Marvin Gaye ou Nina Simone), et dessinent la route ascensionnelle de Homeland. Elle a terminé l’enregistrement de l’album à Paris, au bout d’une odyssée initiatique qui a duré deux ans et demi. Mais pour l’auditeur, ce n’est que le début du voyage.
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